C’est à Sartène, en Corse du Sud, qu’est situé le musée d’archéologie corse.
Vue de Sartène de la terrasse du musée archéologique
Sartène
Archives Mensuelles: septembre 2015
Sortie en mer (fin)
Et retour vers Ajaccio… 
Sortie en mer (suite)
Un petit arrêt au sanguinaires…
La vieille ville.
Sortie en mer
On quitte Ajaccio pour la traversée de son golfe.
La tour de Campomoro.
Citadelle de Corte
La citadelle de Corte fut construite au XVIIIe siècle et abrite le « musée de la Corse » depuis 1984. Elle est classée monument historique depuis 1977.
Bocognano
A mi-chemin entre Ajaccio et Corte, se trouve une petite ville de montagne, Bocognano.
A Cima di Vicu (1879 m)
Punta Laccione (1982 m)
Au milieu A Punta Migliareddu (2254 m), à droite A Punta Cancellone (2120 m)… entre les deux se trouve (se trouvait ? 😦 ) le glacier Tanedda.
Au milieu, U Monti d’Oru (2389 m) et en contrebas, le Canyon de la Richjusa.
Dans les rues d’Ajaccio
Dans les rues d’Ajaccio, on croise…
…des orangers…
…accompagnés de palmiers…
…des agapanthes…
…et même des chèvres prenant des bains de soleil sur les remparts ! 😀
Ìsuli Sanguinarii (suite)
L’origine du nom « sanguinaires » donne lieu à différentes hypothèses. L’une d’elles explique que sur l’archipel étaient placés en quarantaine des marins, essentiellement des corailleurs, revenant principalement d’Afrique du Nord, qu’on appelait i sanguinari (les gens au sang noir, c’est-à-dire porteurs de la peste). On peut d’ailleurs encore voir les ruines du lazaret.
La tour de la Parata.
Ìsuli Sanguinarii
L’archipel des Sanguinaires est composé de quatre îles situées dans le golfe d’Ajaccio.
Le phare des Îles Sanguinaires, automatisé depuis 1985, date de 1870, et culmine à 80 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Le sémaphore est, quant à lui, désaffecté depuis 1955.
Tour de Castelluccio
Sur le chemin des sanguinaires
Sur le chemin menant à l’archipel des Sanguinaires
Nature 