Moret sur Loing


Moret-sur-Loing, dans le département de la Seine et Marne, est située en lisière de la forêt de Fontainebleau, aux bords du Loing et à proximité du confluent de la Seine.

Moret est une petite cité médiévale de 4 500 habitants environ dont les origines semblent remonter à l’époque gallo-romaine avec d’agréables vestiges, portes et donjon du XIIe siècle entre autres.

Un petit coucou  à Océan de fleurs qui j’espère aura plaisir à flâner virtuellement le long du Loing…

MoretMoretMoret

Petit rafraîchissement pour les canards…moretmoret

Moret

Détail d’une maison médiévaleMoret

Moret

Eh non, ce n’est pas le Loing mais la Seine (à St Mammès) dans laquelle se jette le Loing en aval de MoretMoret

Et pour finir deux jolies fleurs

Rudbeckie hérissée (Rudbeckia hirta)Rudbeckie hérissée Rudbeckie hérissée

Cosmos (Cosmos bipinnatus)CosmosCosmosCosmos

Cymbalaire des murs


cymbalaireFamille : Scrofulariacée
Genre : Cymbalaria
Espèce : muralis

Floraison de mai à octobre.
Plante vivace, de 10 à 80 cm de long. 

 
 
cymbalaireLes feuilles sont alternes ou opposées, avec une base simple. Les feuilles sont simples, entières,  rondes,  avec une base en cœur.  Les feuilles présentent 5 à 7 lobes, mieux marqués par des sommets  aigus sur les feuilles supérieures. Les deux faces sont glabres.
 
cymbalaireLes fleurs sont isolées ou groupées par deux le long de la tige. Les fleurs sont violet pâle avec  un palais jaune. Elles sont portées par un pédoncule long et glabre. Elles présentent 4 étamines soudées à la corolle,  groupées en deux paires de taille différente.
 
cymbalaireLa corolle est en forme de tube muni de deux lèvres, avec un éperon,  plus court que la corolle court. La lèvre supérieure est  bilobée et dressée, l’inférieure trilobée avec une base présentant deux bosses. La lèvre supérieure est plane. Son extrémité est découpée. Le calice est glabre. Il est formé de 5 lobes allongés, soudés à la base,  disposés en coupe. 
 
 
Source : Université Pierre et Marie Curie

Genêt à balais


genêt à balai Famille : Fabacée
Genre : Cytisus
Espèce : scoparius

Floraison printemps été.

 
 
genêt à balai Le genêt à balais atteint une hauteur de 1 à 3 m, rarement 4 m. Les branches principales ont un diamètre pouvant atteindre de 5 à 10 cm.
 
 
genêt à balai C’est un arbuste très ramifié à port colonnaire, aux tiges vertes anguleuses, aux petites feuilles caduques, simples et lancéolées ou composées et trifoliolées, mesurant de 5 à 15 mm de long.
 
genêt à balai Dès le printemps, il se couvre entièrement d’une multitude de fleurs jaunes , de 15 à 20 mm de largeur et de 20 à 30 mm de longueur, qui laissent rapidement voir les étamines.
 
 
genêt à balai  La fleur de structure complexe et dépourvue de nectar est pollinisée par les bourdons. Elle est fermée jusqu’à ce qu’elle soit visitée par l’insecte puis reste ensuite ouverte.
genêt à balai

Jablines


Située à une quarantaine de kilomètres à l’est de Paris, la Base de Loisirs de Jablines est par sa superficie la deuxième Base de Loisirs d’Ile de France.

Outre ses deux grandes plages de sable fin qui invitent au farniente et à la baignade (autorisée et surveillée les mois d’été), beaucoup d’autres activités sont possibles comme le pédalo, le téléski, des parcours de VTT, tennis ou tout simplement… promenade !

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Cygne tuberculé ou Cygne muet (Cygnus olor)Cygne tuberculé Cygne tuberculé

Foulque macroule (Fulica atra)Foulque macroule

Violette odorante (Viola odorata)Violette odorante Violette odorante Violette odorante Violette odorante

Véronique de Perse (Veronica persica)Véronique de Perse Véronique de Perse Véronique de Perse Véronique de Perse

Lierre terrestre (Glechoma hederacea)Lierre terrestre

Une fois n’est pas coutume…


Une fois n’est pas coutume ; pour une  fois il ne sera pas question de fleurs, d’animaux ni de nature…

Il s’agira d’un coup de gueule ou d’un coup de cœur, je vous laisse le choix du qualificatif.

Malgré les différents « plans cancer » mis en place depuis plusieurs années, les cancers pédiatriques, puisqu’il est question de cela dans mon post, sont des laissés pour compte : voyez juste cet aperçu dans un article paru dans le Républicain Lorrain.

J’ai décidé de lister ici quelques liens :

L’Institut Curie à Paris , comme l’Institut Gustave Roussy, autre grand centre d’oncologie (le terme « politiquement correct » pour cancérologie) est à la fois un centre de soins hospitaliers et un laboratoire de recherches.

Les bagouzes à Manon est un blog dédié à la fabrication de bijoux fantaisie et dont les recettes sont intégralement reversées à l’Institut Curie et l’Institut Gustave Roussy.

Les P’tits cracks proposent d’une part des stages d’équitation aux enfants en rémission et d’autre part des séjours à la campagne pour les enfants en soin palliatif avec leurs parents.

La ptiote poulette Des layettes et doudous qui ont été réalisés au tricot aiguilles ou crochets entièrement fait mains  sont mis en vente sur le site Internet de l’association et proposés dans plusieurs galeries marchandes. Les recettes sont reversées pour financer la recherche sur les cancers pédiatriques.

L’Association Abigaël reverse l’intégralité de ses bénéfices, ils seront répartis entre l’Institut Curie à Paris afin de soutenir la recherche contre la tumeur rhabdoïde et plus largement à terme contre les cancers de l’enfant et le service oncologie pédiatrique du CHU de Nantes pour améliorer les conditions de vie des enfants hospitalisés.

Don du sang, don de plaquette : Si le don du sang est quelque chose de connue (même si les donneurs se font de plus en plus rares), le don de plaquettes est nettement moins médiatisé. Pendant et après les traitements de chimiothérapie notamment, il arrive fréquemment que le taux de plaquettes dans le sang chute dangereusement. Cette chute, scientifiquement (et barbarement) appelée thrombopénie entraîne des hémorragies spontanées qui peuvent être fatales pour les malades. Seule une transfusion de plaquettes peut éviter ces hémorragies en attendant que le corps fabrique à nouveau ses propres plaquettes. Si le don des plaquettes est certes un peu plus contraignant qu’un simple don du sang, il reste indispensable : en effet, le manque est tel que certains hôpitaux parisiens sont obligés de faire appel à des centres de transfusion en province pour obtenir les plaquettes nécessaires à un malade…

Je voudrais terminer en saluant le courage, qui ne peut que forcer l’admiration de nous autres adultes, de ces enfants qui se battent contre cette maladie qui malheureusement gagne encore trop souvent la partie…