Une fois n’est pas coutume ; pour une fois il ne sera pas question de fleurs, d’animaux ni de nature…
Il s’agira d’un coup de gueule ou d’un coup de cœur, je vous laisse le choix du qualificatif.
Malgré les différents « plans cancer » mis en place depuis plusieurs années, les cancers pédiatriques, puisqu’il est question de cela dans mon post, sont des laissés pour compte : voyez juste cet aperçu dans un article paru dans le Républicain Lorrain.
J’ai décidé de lister ici quelques liens :
L’Institut Curie à Paris , comme l’Institut Gustave Roussy, autre grand centre d’oncologie (le terme « politiquement correct » pour cancérologie) est à la fois un centre de soins hospitaliers et un laboratoire de recherches.
Les bagouzes à Manon est un blog dédié à la fabrication de bijoux fantaisie et dont les recettes sont intégralement reversées à l’Institut Curie et l’Institut Gustave Roussy.
Les P’tits cracks proposent d’une part des stages d’équitation aux enfants en rémission et d’autre part des séjours à la campagne pour les enfants en soin palliatif avec leurs parents.
La ptiote poulette Des layettes et doudous qui ont été réalisés au tricot aiguilles ou crochets entièrement fait mains sont mis en vente sur le site Internet de l’association et proposés dans plusieurs galeries marchandes. Les recettes sont reversées pour financer la recherche sur les cancers pédiatriques.
L’Association Abigaël reverse l’intégralité de ses bénéfices, ils seront répartis entre l’Institut Curie à Paris afin de soutenir la recherche contre la tumeur rhabdoïde et plus largement à terme contre les cancers de l’enfant et le service oncologie pédiatrique du CHU de Nantes pour améliorer les conditions de vie des enfants hospitalisés.
Don du sang, don de plaquette : Si le don du sang est quelque chose de connue (même si les donneurs se font de plus en plus rares), le don de plaquettes est nettement moins médiatisé. Pendant et après les traitements de chimiothérapie notamment, il arrive fréquemment que le taux de plaquettes dans le sang chute dangereusement. Cette chute, scientifiquement (et barbarement) appelée thrombopénie entraîne des hémorragies spontanées qui peuvent être fatales pour les malades. Seule une transfusion de plaquettes peut éviter ces hémorragies en attendant que le corps fabrique à nouveau ses propres plaquettes. Si le don des plaquettes est certes un peu plus contraignant qu’un simple don du sang, il reste indispensable : en effet, le manque est tel que certains hôpitaux parisiens sont obligés de faire appel à des centres de transfusion en province pour obtenir les plaquettes nécessaires à un malade…
Je voudrais terminer en saluant le courage, qui ne peut que forcer l’admiration de nous autres adultes, de ces enfants qui se battent contre cette maladie qui malheureusement gagne encore trop souvent la partie…